Soutien des enseignants à Doumbouya : “Si vous ne l’aviez pas fait, on aurait eu un sentiment d’ingratitude”, selon Bah Oury

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Depuis le Palais du Peuple, où il a pris part ce lundi 21 avril 2025 à la cérémonie de célébration des acquis du CNRD dans le système éducatif, organisée par le Mouvement national des enseignants de Guinée, le Premier ministre Bah Oury a exprimé sa reconnaissance envers le Général Mamadi Doumbouya pour les réformes engagées dans le secteur éducatif guinéen.

S’adressant aux nombreux enseignants mobilisés pour l’occasion, Bah Oury a souligné l’importance des efforts entrepris par les autorités de la transition pour redresser un secteur longtemps en crise.

“Depuis combien d’années la Guinée a-t-elle connu des turbulences dans le domaine de l’éducation ? Pratiquement plus d’une décennie. Et il a fallu la gouvernance du Général Mamadi Doumbouya pour mettre fin à une situation particulièrement injuste, celle faite aux contractuels, qui portaient l’école sur leurs épaules, pratiquement sans salaire”, a-t-il déclaré.

Selon le chef du gouvernement, cette reconnaissance publique est non seulement méritée, mais aussi nécessaire. “Si vous ne l’aviez pas fait, peut-être qu’intérieurement on n’aurait rien dit, mais on aurait ressenti un sentiment d’ingratitude. Depuis combien d’années la Guinée a-t-elle connu des turbulences dans le domaine de l’éducation ? Pratiquement plus d’une décennie. Et il a fallu la gouvernance du Général Mamadi Doumbouya pour mettre fin à une situation particulièrement injuste, celle faite aux contractuels, qui portaient l’école sur leurs épaules, pratiquement sans salaire”, a-t-il insisté.

Il a également souligné que la fin de cette injustice marque le début d’un véritable chantier de transformation pour l’école guinéenne. “Il fallait corriger cette injustice, et elle l’a été. J’ai l’habitude de taquiner un de mes amis membres du gouvernement, que j’appelle Jupiter, en lui disant : ‘Nous ne chantons pas la révolution, nous la faisons.’ Et cette révolution est en marche : la transformation de l’école guinéenne”, a conclu Bah Oury.

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