Les quatre barrages alimentant Mashhad, deuxième plus grande ville d'Iran, sont pratiquement à sec avec des réserves à moins de 3%, a rapporté dimanche un média local, au moment où le pays fait face à une sécheresse sans précédent. Hamidreza Azari, ingénieur en recherche à l'Université Aix-Marseille, est notre invité.