Le Kremlin a dit s'attendre à "une discussions très compliquée" avec Kiev lors des négociations de paix prévues mercredi soir à Istanbul, éloignant à nouveau la possibilité d'avancées diplomatiques rapides pour mettre fin à la guerre. Cette troisième session d'échanges directs à Istanbul intervient sous la pression du président américain Donald Trump, qui a donné à Moscou, mi-juillet, 50 jours pour parvenir à un accord avec Kiev, sous peine de sanctions sévères. Analyse d'Anne Corpet, chroniqueuse internationale France 24.