Après deux jours de mobilisation des commerçants iraniens, le président Pezeshkian a appelé au dialogue, rapportent mardi les médias d'État, jugeant "légitimes" les revendications des manifestants face à l’hyperinflation. La veille, la police est intervenue avec des gaz lacrymogènes, tandis que le mouvement semble s'étendre à l’université de Téhéran.