Dubréka : après le meurtre d’une fillette, l’État promet des mesures fermes

il y a 8 heures 23
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Le gouvernement guinéen a fermement condamné le viol suivi du meurtre de la petite Oumou Diallo, âgée de trois ans et dix mois, survenu à Dubréka. Dans un communiqué publié par le ministère de la Promotion féminine, de l’Enfance et des Personnes vulnérables, les autorités qualifient ce crime de « barbarie injustifiable » et assurent que justice sera rendue.

La ministre Charlotte Daffé a dénoncé un « acte ignoble » qui, selon elle, rappelle « l’urgence de renforcer la protection des enfants et de prévenir toutes les formes de violences basées sur le genre ». Elle a réaffirmé la détermination du gouvernement à soutenir les autorités judiciaires dans la traque et la poursuite des responsables.

Une enquête a été ouverte par la police afin d’identifier et d’interpeller l’auteur du crime. 

Charlotte Daffé a indiqué que les services sociaux de la commune « resteront mobilisés pour accompagner la famille » de la victime. Le ministère a également exprimé « sa solidarité et sa compassion les plus sincères » envers les proches, en particulier la mère de la fillette, Madame Fatoumata Binta Bah.

Portée disparue depuis le 23 octobre, Oumou Diallo a été retrouvée agonisante dans le coffre d’une voiture garée à proximité de son domicile. Selon les premières informations, elle aurait été empoisonnée avant d’être violée par des individus non identifiés. Transportée d’urgence à l’hôpital, la fillette a finalement succombé à ses blessures le dimanche 26 octobre au CHU Ignace Deen.

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