Dans le viseur de la justice internationale pour des suspicions de déportation illégale d'enfants ukrainiens, Vladimir Poutine ne se rendra pas au sommet des Brics au Brésil prévu début juillet, a annoncé mercredi le Kremlin. Membre de la Cour pénale internationale (CPI), le Brésil se serait retrouvé, en cas de venue du président russe, dans l'obligation de l'arrêter.