Triompher du terrorisme par une prophylaxie qui éclipse certaines libertés au Mali ! [Par Souleymane Doumbouya]

Vaincre ou périr! Le Grand Général d’Armée, le Président Assimi GOITA soumet son pays à une thérapie de choc. Certaines libertés fondamentales prennent un sérieux coup mais entre anarchie, désordre et injustice (si on peut l’appeler ainsi), il faut choisir. C’est un peu comme choisir entre le choléra et la peste, de toute façon entre deux maux choisir le moindre mal relève d’une grande sagesse.

Que tout le monde se concentre désormais sur la guerre !

Le Chanteur Reggaement ivoirien Tiken Dja Fakoly n’avait-il pas préconisé qu’au Mali, on devait tout arrêter et faire la guerre ?

Même si en dépit de tout, il y’a d’énormes efforts pour améliorer les conditions de vie des braves et laborieuses populations maliennes, très resilientes et debout comme un seul homme derrière leurs braves FAMAS.

Le péril terroriste qui avait menacé et remis fondamentalement en cause l’existence de l’Etat, continue de l’eprouver en persistant de plus belle encore. Rien n’est encore gagné. Le terrorisme vaincu pratiquement en Asie ( proche et moyen orient) est entrain de s’enraciner dans nos États africains, aux frontières poreuses surtout affaiblis par plusieurs décennies de gabegies financières.

Nous espérons qu’avant la fin de cette période martiale établie sur un quinquennat, tous les foyers des Groupes Armés Terroristes (GAT) seront totalement et durablement éteints.

Nous avions le triste souvenir du sort subit par feu le grand frère Soumaila Cissé (Paix à son âme) principal opposant à l’Ex Président feu IBK. Il avait été capturé suite à un des rapts les plus violents au cours duquel quasiment les hommes de sa sécurité furent liquidés, lui-même fut tripoté et rendu après à l’Etat malien suite à des négociations et cela en pleine période de la pandémie covid19, malheureusement, il ne survécu point à cet autre péril. Capturé dans un rayon de moins de 100km de Bamako, c’était l’expression de la déliquescence d’un Etat malien pourtant assisté de plusieurs forces armées sur son territoire national, notamment : Barkhane, Takuba, Minusil etc.

J’ose espérer que nous sommes loin d’une messe de requiem de la D-E-M-O-C-R-A-T-I-E au grand Mali, terre des femmes et des hommes parmi les plus dignes de l’Afrique car berceau incontestable des plus grandes civilisations du monde noir.

Bonne chance aux valeureuses FAMAS qui nous rendent chaque jour plus fiers d’être noirs. Pour le moment, il s’agit d’une menace devenue recurrente, et comme il est courant :  » Aux grands maux, les grands remèdes ! ». Concentrons nous sur l’hydre terroriste!

Bonne chance aux maliennes et maliens qui sont entrain d’écrire une des plus belles pages de l’histoire de l’Afrique souverainiste et panafricaine ensemble avec leurs frères de la belle Confédération de l’Alliance des États du Sahel (AES).

Souleymane Doumbouya

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