Peu après la destitution d'Andry Rajoelina, le colonel Michael Randrianirina a déclaré que les militaires avaient pris le pouvoir et dissous toutes les institutions, à l'exception de l'Assemblée nationale, chambre basse du Parlement du pays. Depuis, "il y a une liberté de parole qui est présente, et une ambiance très festive", rapporte notre correspondante Gaëlle Borgia.