Le président américain pourra bien révoquer le statut légal de 500 000 immigrés venus du Venezuela, de Cuba, du Nicaragua et de Haïti et autorisés par son prédecesseur à résider aux États-Unis pour deux ans, a jugé vendredi la Cour suprême. Cette décision est toutefois temporaire, le temps qu'une cour d'appel se prononce sur le fond.